Doute que le soleil tourne,
Doute que la vérité soit la vérité,
Mais ne doute jamais de mon amour!
Ô chère Ophélia, je suis mal à l’aise en ces vers
Je n’ai point l’art d’aligner mes soupirs;
Mais je t’aime bien! Oh! par-dessus tout! Crois-le. Adieu!
À toi pour toujours, ma dame chérie,
Tant que cette machine mortelle m’appartiendra!
Hamlet (II, 2), William Shakespeare
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